Maisla sĂ©curitĂ© n’est pas seulement l’affaire des professionnels de santĂ©, elle est aussi celle des patients et des visiteurs. C’est pourquoi le LasĂ©curitĂ© ferroviaire est l’affaire de tous . Aujourd’hui, la politique gĂ©nĂ©rale de la direction de la SNCF, Ă  l’instar d’autres grandes sociĂ©tĂ©s françaises comme La Poste, Air France et ENGIE, rĂ©vĂšle sa volontĂ© affichĂ©e et assumĂ©e de tendre vers une logique de rentabilitĂ©. À ce titre, les plans de restructuration se succĂšdent, la flexibilitĂ© des tĂąches LasĂ©curitĂ© des loisirs nautiques est l’affaire de tous Article créé le 15/06/2021 par webmestre Mis Ă  jour le 24/05/2022 L’étĂ© dans le Var offre la possibilitĂ© de pratiquer bon nombre de loisirs nautiques. Mais toute sortie en mer impose de prendre des prĂ©cautions et de respecter la rĂ©glementation en cours. LaresponsabilitĂ© en SST : l’affaire de tous! Tout le monde le sait, mais est-ce que tout le monde le fait? Pour que cela fonctionne vraiment en santĂ©-sĂ©curitĂ©, pour les meilleurs rĂ©sultats, c'est-Ă -dire, le moins d’accidents possible, voire mĂȘme, zĂ©ro accident, il est essentiel que tout le monde dans l’entreprise prenne ses responsabilitĂ©s. LasĂ©curitĂ© et la santĂ© au travail sont l’affaire de tous. La SST (santĂ© sĂ©curitĂ© au travail) n’est pas uniquement une question de respect de la loi et reprĂ©sente bien plus qu’une tĂąche administrative. Il s’agit tout simplement Vay Tiền Online Chuyển KhoáșŁn Ngay. Les spĂ©cialistes de la cybercriminalitĂ© se rĂ©unissent cette semaine Ă  Monaco avec pour ambition d'Ă©tendre Ă  l'ensemble de la population les comportements et rĂ©flexes qui permettront de mieux rĂ©sister Ă  des pirates informatiques de plus en plus audacieux. Mis Ă  jour le 3 oct. 2016 Se protĂ©ger, ça passe par des rĂšgles», explique Ă  l'AFP le directeur gĂ©nĂ©ral de l'Agence nationale de la sĂ©curitĂ© des systĂšmes d'information Anssi, Guillaume Poupard. Il y a des rĂšgles de conception des systĂšmes, des rĂšgles d'administration de ces systĂšmes, des rĂšgles de gouvernance, des rĂšgles de comportement de la part des agents... Quand vous appliquez toutes ces rĂšgles et que vous le faites proprement, ça ne garantit pas une sĂ©curitĂ© Ă  100%, mais il n'y a plus grand-chose qui passe», estime-t-il. Le propos peut paraĂźtre bien optimiste, alors qu'on apprend tous les jours ou presque que des cybercriminels arrivent Ă  se promener dans des systĂšmes informatiques les plus divers, volent des fichiers, dĂ©tournent de l'argent ou menacent de tout bloquer. Au sein des entreprises, il y a Ă©videmment un responsable de la sĂ©curitĂ© des systĂšmes d'information il est indispensable, mais pas suffisant. L'idĂ©e, c'est vraiment de se dire que chacun est acteur de cette cybersĂ©curitĂ© le PDG, le directeur juridique, le directeur financier... Chacun a un rĂŽle Ă  jouer», souligne-t-il. Y compris l'intĂ©rimaire, gĂ©nĂ©ralement oubliĂ© dans les procĂ©dures, alors qu'il a souvent accĂšs aux systĂšmes. Pas Ă©tonnant, dans ce contexte, que les Assises de la sĂ©curitĂ© et des systĂšmes d'information soient de moins en moins une rĂ©union de spĂ©cialistes. Quelque 2500 personnes y sont attendues de mercredi Ă  vendredi, Ă  Monaco. La menace reste des plus sĂ©rieuses, d'autant que le problĂšme de la sĂ©curitĂ© informatique a longtemps Ă©tĂ© nĂ©gligĂ©. L'État a identifiĂ© plus de 200 opĂ©rateurs d'importance vitale OIV, privĂ©s et publics, qui exploitent ou utilisent des installations jugĂ©es indispensables pour la survie de la Nation». La loi de prĂ©paration militaire les oblige dĂ©sormais Ă  suivre toute une sĂ©rie de rĂšgles trĂšs strictes pour faire face Ă  la menace cyber, sous la surveillance de l'Anssi. Rendre les attaques publiques Et pour les autres? Rien d'obligatoire, pour l'instant, mais du bon sens. Il y a des chefs d'entreprises qui viennent me voir pour me demander ce qu'ils doivent faire, alors qu'ils ne sont pas des OIV», raconte Guillaume Poupard. Et bien, la mĂȘme chose!» Les entreprises devront de toute façon rĂ©agir parce qu'une directive europĂ©enne va les obliger en 2018 Ă  rendre public tout vol de donnĂ©es personnelles. Or, jusqu'Ă  prĂ©sent, la plupart d'entre elles prĂ©fĂšrent garder secrĂštes les attaques dont elles font l'objet. Pour des raisons d'image, et aussi, note pour mieux rĂ©agir face aux pirates. On va voir le vrai visage de la sĂ©curitĂ© des sociĂ©tĂ©s françaises, et ça va faire peur», prĂ©dit JĂ©rĂŽme Robert, responsable du marketing chez Lexsi, une sociĂ©tĂ© spĂ©cialisĂ©e tout juste rachetĂ©e par Orange. Le plus souvent guidĂ©s par l'appĂąt du gain, mais aussi par des motivations idĂ©ologiques, les cybercriminels s'introduisent au coeur du systĂšme des entreprises, gĂ©nĂ©ralement en passant par les ordinateurs de certains employĂ©s. Et pour approcher lesdits employĂ©s, on leur fait ouvrir des piĂšces jointes par courriel, on les envoie cliquer sur des pages web vĂ©rolĂ©es ou on leur met entre les mains une clef USB corrompue. Une fois dans la place, les pirates peuvent tranquillement piller les ressources de l'entreprise attaquĂ©e - pour la plus grande joie d'un concurrent, par exemple - voire prendre le contrĂŽle de ses Ă©quipements. Quitte Ă  reprĂ©senter un vĂ©ritable danger, puisqu'ils pourraient ainsi faire dĂ©railler un train, prendre le contrĂŽle d'une voiture autonome, polluer l'approvisionnement d'une ville en eau ou faire sauter une raffinerie. Sans en arriver Ă  de telles extrĂ©mitĂ©s, les cybercriminels font de plus en plus chanter leurs victimes en s'introduisant dans leurs ordinateurs pour les bloquer ou en crypter le contenu. Et lĂ , ce ne sont pas seulement des entreprises, mais aussi des particuliers, qui sont victimes de ces ransomwares», et qui ne peuvent espĂ©rer rĂ©cupĂ©rer leurs donnĂ©es qu'en payant une rançon. Il ne peut plus avoir de clivage entre des acteurs Ă©tatiques et municipaux actifs, et une population Ă  qui l'on demande de la passivitĂ©. L'Ă©poque nouvelle dans laquelle nous entrons nous oblige Ă  impliquer la population et Ă  la sensibiliser sur une vigilance utile. Le monde en gĂ©nĂ©ral et la France en particulier sont rentrĂ©s dans une nouvelle Ăšre celle de l'omniprĂ©sence de la menace terroriste. Ce changement de paradigme impose Ă  chacun une implication forte de sa part. La sĂ©curitĂ© des Français n'est pas l'affaire d'un seul acteur, mais elle repose sur la prise de conscience de tous. L'Etat d'abord, qui doit remplir Ă  plein cette compĂ©tence rĂ©galienne. Pour ce faire, il est nĂ©cessaire de ne pas avoir peur de l'autoritĂ©, en interdisant par exemple certains rassemblements sur des places parisiennes qui mobilisent inutilement les forces de l'ordre. Nos forces de police et de Gendarmerie sont mobilisĂ©es au quotidien dans la lutte contre le terrorisme, elles seront encore une fois mise Ă  rude Ă©preuve pour assurer l'ordre public lors de l'Euro 2016 de football - notamment Ă  l'abord des "Fan zones" - comment peut-on alors justifier qu'en plein Etat d'Urgence nous les mobilisions pour des rassemblements quotidiens de personnes davantage prĂ©sentes pour casser que pour manifester pacifiquement ? Les maires ensuite doivent s'engager, et doivent avoir les moyens de le faire. L'armement des polices municipales est un prĂ©requis, tant pour la sĂ©curitĂ© des administrĂ©s que pour celle des agents. Cet armement devrait ĂȘtre, comme beaucoup le rĂ©clame Ă  droite comme Ă  gauche, gĂ©nĂ©ralisĂ©. L'exception devrait ĂȘtre le refus du Maire et non pas sa demande. La pĂ©riode que nous traversons nous impose de la vigilance, du courage et de la responsabilitĂ©. Concomitamment Ă  cela, l'Ă©largissement de l'encadrement juridique relatif Ă  la police municipale, sur les fouilles ou les contrĂŽles d'identitĂ©, devra indĂ©niablement suivre. Il en va de mĂȘme pour l'interopĂ©rabilitĂ© des rĂ©seaux de communication entre la police municipale et la police nationale. Nous sommes en train de la mettre en place dans ma ville, mais je suis surpris qu'il faille faire tant de dĂ©marches pour un outil qui semble si logique... Pourquoi, une fois encore, n'est-il pas gĂ©nĂ©ralisĂ© ? Il est absolument indispensable que le lĂ©gislateur en prenne conscience. Les maires doivent Ă©galement agir pour trouver des dispositifs novateurs visant Ă  toujours accroitre la sĂ©curitĂ© de leur population. Dans la ville de Saint-MandĂ©, dans laquelle je suis maire, nous avons mis en place des "Kit dĂ©tresse" qui ont Ă©tĂ© confiĂ©s aux directeurs d'Ă©coles, de crĂšches et de lieux de cultes. Ces kits d'urgence comportent un "bip" qui envoie un signal d'urgence Ă  la police municipale et Ă  la police nationale lorsqu'il est activĂ© par le dĂ©tenteur, c'est-Ă -dire en cas de pĂ©ril imminent. Dans une ville encore marquĂ©e par les attentats de l'HyperCacher qui se trouvait en face de notre place du marchĂ©, il Ă©tait important de rĂ©flĂ©chir Ă  des dispositifs rassurants et efficaces. Enfin, je suis absolument convaincu qu'une sĂ©curitĂ© efficace passe par l'implication des citoyens. Nous sommes tous acteurs de notre sĂ©curitĂ©. Les maires peuvent ĂȘtre des catalyseurs en crĂ©ant des dispositifs "Citoyens solidaires", comme nous l'avons dans notre ville. Des associations se proposent Ă©galement de fĂ©dĂ©rer la population sur cette thĂ©matique, je pense notamment aux "Voisins vigilants". Il ne peut plus avoir de clivage entre des acteurs Ă©tatiques et municipaux actifs, et une population Ă  qui l'on demande de la passivitĂ©. L'Ă©poque nouvelle dans laquelle nous entrons nous oblige Ă  impliquer la population et Ă  la sensibiliser sur une vigilance utile. Des formations au secourisme ou des explications sur l'attitude Ă  avoir en cas de pĂ©ril imminent doivent Ă©galement ĂȘtre diffusĂ©es aux citoyens. L'idĂ©e n'est pas d'avoir des "super hĂ©ros", mais des citoyens avisĂ©s, informĂ©s, vigilants, conscients, respectueux du bien commun et capables de rĂ©agir si besoin. Ce n'est qu'au prix de tous ces efforts que ceux qui tentent de faire planer la terreur subiront une double dĂ©faite Une dĂ©faite dans la rĂ©alisation de leurs actes, car les diffĂ©rents acteurs seront prĂȘts. Une dĂ©faite dans la volontĂ© de nous diviser, car l'Ăšre que nous traversons doit nous rapprocher et dĂ©velopper une solidaritĂ© forte entre nous. Le Premier ministre Edouard Philippe C accompagnĂ© de la ministre des Transports Elisabeth Borne 2G, le ministre de l'IntĂ©rieur GĂ©rard Collomb 2D, Ă  la Gare du Nord, le 3 novembre 2017 POOL/AFP - GONZALO FUENTES publiĂ© le 3 novembre 2017 Ă  11h25. AprĂšs la tour Eiffel mercredi, le Premier ministre Édouard Philippe s'est rendu Ă  la gare du Nord Ă  Paris vendredi pour rassurer les Français deux jours aprĂšs que la loi antiterroriste a remplacĂ© l'Ă©tat d'urgence et rappeler que "la sĂ©curitĂ© est l'affaire de tous". "Nous savons parfaitement que le niveau de menace reste Ă©levĂ©", a dĂ©clarĂ© Édouard Philippe entourĂ©, du ministre de l'IntĂ©rieur GĂ©rard Collomb et de la ministre des Transports Élisabeth Borne. "La sĂ©curitĂ© c'est l'affaire de tous, ça n'est pas uniquement l'affaire des forces de l'ordre", a-t-il rappelĂ© aprĂšs avoir rencontrĂ© les policiers, gendarmes, agents de la sĂ»retĂ© de la SNCF et de la RATP. "Les dĂ©fis sont immenses mais le gouvernement, les forces de l'ordre, l'ensemble des opĂ©rateurs sont extrĂȘmement mobilisĂ©s pour mettre des moyens humains supplĂ©mentaires, vĂ©rifier que le cadre juridique de notre action nous permet d'apporter des rĂ©ponses claires et efficaces et c'est notamment le cas depuis l'adoption de la loi antiterroriste", a-t-il dit."Et puis au-delĂ  des moyens humains et juridiques, et au delĂ  mĂȘme des moyens matĂ©riels, je redis l'attention que nous devons tous avoir, cette vigilance collective et pas simplement la vigilance des forces de l'ordre, car ils ne pourront rĂ©pondre au dĂ©fi immense du terrorisme que par une attention permanente et collective de l'ensemble des citoyens", a assurĂ© le Premier ministre. Mercredi, lors d'un dĂ©placement Ă  la tour Eiffel, le Premier ministre avait dĂ©jĂ  appelĂ© Ă  la "vigilance de l'ensemble de la sociĂ©tĂ©" pour une rĂ©ponse "efficace" Ă  la menace veille, le ministre de l'IntĂ©rieur s'Ă©tait rendu Ă  la gare Saint Lazare pour rencontrer les patrouilles de la prĂ©fecture de police de Paris, 15 millions de voyages quotidiens sont effectuĂ©s sur le rĂ©seau de transports d'Ile-de-France dont sur la gare du Nord. Il y a eu interpellations sur l'ensemble des rĂ©seaux depuis janvier 2017. Sur les neuf premiers mois de 2017, plaintes ont Ă©tĂ© reçues au poste de police de la gare du Nord et interpellations ont eu AFP “La sĂ©curitĂ© est l’affaire de tous”, voilĂ  un slogan qui devrait faire rĂ©flĂ©chir la municipalitĂ© sur les responsabilitĂ©s qui sont les siennes en la matiĂšre et la politique inverse qu’elle mĂšne aujourd’hui en rĂ©duisant les effectifs de la police municipale. Avec ses dĂ©cisions de ne pas remplacer les agents en partance, on est loin des promesses de 2014 garantissant une qualitĂ© de vie de tous nos concitoyens comment alors assurer avec des effectifs rĂ©duits une volontĂ© de police de proximitĂ© et un dĂ©veloppement des actions de prĂ©vention de la dĂ©linquance mais aussi de solidaritĂ© entre les habitants ! Par ailleurs, la commune qui s’est dotĂ©e en 2011 d’un outil performant que sont les camĂ©ras de vidĂ©o protection, et qui a dĂ©montrĂ© une nette efficacitĂ© opĂ©rationnelle» site officiel de la ville est aujourd’hui totalement dĂ©laissĂ©. Le vƓu d’optimiser cette vidĂ©osurveillance sur la commune grĂące Ă  une localisation plus pertinente des camĂ©ras n’aura-t-il donc Ă©tĂ© qu’un vƓu pieu ? Qu’attend- donc la municipalitĂ© pour rĂ©agir et rassurer les quartiers ? Faudra t-il une hausse des vols et dĂ©lits en tout genre sur la commune et qu’ils soient confrontĂ©s Ă  la colĂšre des victimes et Ă  la demande croissante de sĂ©curitĂ© de leurs administrĂ©s pour qu’enfin nos Ă©lus se sentent impliquĂ©s et appliquent une vraie politique de prĂ©vention et de sĂ©curitĂ© ? » Guillaume FORTUNE La Ville de Courseulles-sur-Mer et la Police municipale, en collaboration avec la Gendarmerie, lance une campagne de sensibilisation pour les cyclistes et utilisateurs de trottinette, skateboard, overboard ou rollers La SĂ©curitĂ©, c’est l’affaire de tous ! Le but faire comprendre que pour la sĂ©curitĂ© de chacun, il est important de respecter le code de la route en toutes circonstances. Et sur la digue aussi ! Les vĂ©los, trottinettes, rollers, skateboards et overboards sont interdits sur la digue tous les week-ends et jours fĂ©riĂ©s toute l’annĂ©e et du 1er juin au 30 septembre inclus, sauf pour les enfants de moins de 8 ans et les services de sĂ©curitĂ©. Nous avons pris cette mesure pour garantir la sĂ©curitĂ© des piĂ©tons. Avec l’affluence l’étĂ© et les week-ends sur notre digue, les vĂ©los ou tout engin roulant deviennent un danger pour les piĂ©tons » prĂ©cise Francis Nicaise, maire-adjoint en charge de la sĂ©curitĂ©. Ce mardi 13 juillet, de 16h Ă  18h30, 4 agents de la police municipale et 9 gendarmes Ă©taient sur le terrain, notamment rue de la mer, Ă  proximitĂ© du camping, place du marchĂ© et sur la digue, pour faire de la prĂ©vention et expliquer les rĂšgles aux locaux et vacanciers qui roulent de plus en plus en mobilitĂ© douce. Nous en profitons pour leur rappeler que toutes infractions Ă  un coĂ»t et que nous ne pourrons pas toujours faire du prĂ©ventif » explique Steve Houssaye, brigadier-chef principal Ă  la police municipale de Courseulles-sur-Mer. Pendant ces journĂ©es de sensibilisation, nous donnons un dĂ©pliant avec les montants des amendes en fonction des infractions commises. Cela permet de faire une piqĂ»re de rappel Ă  chacun ». Une autre date d’opĂ©ration de sensibilisation sera proposĂ©e le mardi 3 aoĂ»t. Article publiĂ© le vendredi 16 juillet 2021

la sécurité est l affaire de tous